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« Il n’y a pas de bons et mauvais aliments pour tout le monde;
il y a des bons et mauvais aliments pour chaque individu ».

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  • En nutrition, on ne devrait jamais GÉNÉRALISER comme cela est couramment fait.
  • Il faut manger varié, équilibré mais PERSONNALISÉ. Cela signifie qu’il faut absolument INDIVIDUALISER notre alimentation.
  • Notre système immunitaire est vigilant, il sait exactement ce qu’il faut que nous consommions ou pas.
  • Il faudrait manger selon son IMMUNITÉ : certains « bons aliments » ou réputés l’être peuvent nous faire du mal parfois totalement à notre insu.

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Je mange ce qui me réussit  du Docteur Roger Mussi (Flammarion)

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Des conseils pour repérer ses intolérances alimentaires et prendre soin de son intestin, dont le mauvais fonctionnement est à l’origine de nombreuses maladies chroniques : maux de ventre, migraines, boulimie, tendinite, affections ORL, etc. L’ouvrage indique comment et où tester ses intolérances, comment en interpréter les résultats et adapter son programme alimentaire.

Ce livre est le guide idéal pour repérer et soigner toutes vos intolérances alimentaires.

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En résumé

Idées reçues sur la nutrition
Voici ce que l’on entend communément : il faut manger varié, équilibré, pas trop gras, ni sucré, ni salé. Consommer 3 produits laitiers par jour, 5 à 7 portions de fruits et légumes par jour, ne pas fumer, consommer 2 à 3 verres de vin rouge au maximum par jour, bien mastiquer vos aliments avant d’avaler, prendre le temps nécessaire pour le repas et dans la tranquilité, faire 30 minutes par jour de sport. Enfin prendre du plaisir et être heureux dans la vie et tout ira bien.
Tout cela est parfaitement recevable et dans la grande majorité des cas fortement souhaitable.
OUI mais, si cela est valable à l’échelon de toute une population, il y a une réserve à l’échelon individuel, car tous les aliments ne sont pas nécessairement bons et profitables pour tout le monde.

L’immuno-nutrition : l’autre façon d’envisager son alimentation
Selon moi, il faut certes manger varié et équilibré, oui mais surtout, il faut manger PERSONNALISÉ
Il faut absolument individualiser notre alimentation. C’est le nouveau paradigme de la nutrition, la personnalisation de notre alimentation, maillon faible de la nutrition dite conventionnelle.
Notre système immunitaire est vigilant et sait très exactement ce qu’il faut que nous consommions ou pas.
Il faudrait en fait manger selon son immunité. Certains « bons aliments » ou réputés l’être peuvent nous faire du mal parfois totalement à notre insu
.

Exemples : « Manger 5 fruits et légumes par jour pour tous » ou « 3 produits laitiers par jour ». Si cela est vrai statistiquement (il est donc justifié de le dire) pour l’ensemble de la population, cela peut devenir délétère pour un individu pris isolément.

L’immuno-nutrition sera, dans un avenir proche, nous l’espérons, une clé et le gage d’une pleine santé et partie intégrante de la médecine préventive, prédictive et  personnalisée.
Je considère qu‘il n’y a pas de bons et mauvais aliments pour tout le monde, il y a des bons et mauvais aliments pour chaque individu.

La méthode
Depuis plus de 20 ans, j’ai testé cliniquement la fiabilité et la reproductibilité d’un test de fabrication allemande et de type ELISA.
J’ai suivi ainsi plus de 1500 patients ayant fait le test et le bilan est sans ambiguïté, j’énonce, à tous, les conclusions de ma pratique sur les intolérances alimentaires qui entre dans le cadre de l’immuno-nutrition.
Tout aliment, quel qu’il soit est un corps étranger, et à ce titre, fait l’objet d’un  »contrôle systématique par notre système immunitaire ».
Il sera alors jugé soit comme substance amie, donc parfaitement  »toléré », soit comme substance  ennemie  car  »mal toléré ». C’est le principe de la reconnaissance immunitaire du soi et du non-soi.

Dans ce dernier cas, la réponse de défense immunitaire se traduit par une sécrétion accrue d’anticorps IgG, bien objectivée par les tests, notamment par le test Elisa que je trouve, pour ma part le plus performant, car très fiable et reproductible. D’un point de vue physiopathologique il s’ensuit une dysbiose (modification du microbiote intestinal) ainsi qu’une inflammation sur toute la muqueuse de l’intestin grêle qui devient poreuse et hyperperméable.
Il s’agit d’une réaction d’allergie retardée de type 3, source de  pathologies chroniques selon la durée d’exposition préalable à un ou plusieurs antigènes alimentaires.
On peut aujourd’hui connaître, grâce à une simple prise de sang, les aliments qui sont toxiques pour chaque individu. Autrement dit, on sait établir pour chaque personne sa carte d’identité alimentaire, son profil unique d’intolérances alimentaires.

Le livre Je mange ce qui me réussit aborde en profondeur le sujet des intolérances alimentaires.